La Grèce a été l’un des pays les plus violemment touchés par la crise financière de 2008. Le déficit public grec s’est brutalement envolé sous l’effet de l’augmentation des taux d’intérêt et d’une gestion déplorable. Pour faire face à une dette estimée à 113% du PIB en 2010, la Grèce a fait appel au FMI et à l’Union européenne. Le gouvernement grec a obtenu leur soutien en contrepartie d’une série de mesures de rigueur : lutte contre l’évasion fiscale, réduction des déficits de l’État, limitation des primes du secteur public et des dépenses de santé, gel des embauches dans le secteur public, etc.
La Fondation pour l’innovation politique s’est interrogée sur la manière dont les Grecs ont alors vécu cette politique de rigueur.
Institut | Ifop |
Taille de l’échantillon | 800 |
Âge des personnes interrogées |
18 ans et plus |
Date de terrain | 12 au 17 mai 2010 |
Mode d’administration | Téléphone |
Nombre de questions | 16 |
Pays | Grèce |
Langue d’administration | Grec |
Résultats disponibles en | Français |
Crédit photo : Shadowgate